Le Ballet mécanique [version Kiesler]
1923 - 1924
Le Ballet mécanique [version Kiesler]
1923 - 1924
« L’erreur picturale, c’est le sujet. L’erreur du cinéma, c’est le scénario. » (Léger)
La force novatrice du Ballet mécanique tient pour une bonne part à la mise à plat anti-lyrique des objets présentés. Cette opération se fait par un travail de montage extrêmement précis qui prend pour unité le photogramme et non plus le plan. La fragmentation ainsi obtenue est renforcée par l’usage des caches et des prismes produisant des effets kaléidoscopiques. La multiplication des points de vue sur un même objet et l’usage quasi constant de gros plan s’inscrivent ici dans une pensée cubiste.
Domaine | Cinéma | Film |
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Technique | Film 35 mm noir et blanc, muet |
Durée | 19 minutes 50 secondes |
Acquisition | Achat, 1997 |
N° d'inventaire | AM 1997-F1388 |
Fait partie de l'ensemble |
Le Ballet mécanique (Ensemble dissociable) |
En salle :
Musée - Niveau 5 - Salle 14 : Esprit nouveau
Informations détaillées
Artistes | Fernand Léger, Dudley Murphy | |
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Titre principal | Le Ballet mécanique [version Kiesler] | |
Date de création | 1923 - 1924 | |
Fait partie de l'ensemble | Le Ballet mécanique (Ensemble dissociable) 1923-1924 | |
Collaborateurs | Co-réalisation : Dudley Murphy Collaboration : Man Ray Musique : Georges Antheil | |
Domaine | Cinéma | Film | |
Technique | Film 35 mm noir et blanc, muet | |
Stade de la creation | Version Kiesler | |
Durée | 19 minutes 50 secondes | |
Acquisition | Achat, 1997 | |
Secteur de collection | Cinéma | |
N° d'inventaire | AM 1997-F1388 |
Bibliographie
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