Festival / Soirée
Un Nouveau festival / « Tell Me… », Guy de Cointet
20 févr. - 11 mars 2013
L'événement est terminé
Le Nouveau festival s'engage sur le chemin de Guy de Cointet (1934, Paris – 1983, Los Angeles), artiste français installé aux États-Unis, dont l'oeuvre fait depuis quelques années l'objet d'une redécouverte pour être aujourd'hui considérée comme un jalon essentiel et singulier de l'histoire de la performance, entre poésie et théâtre. Composée de dispositifs et d'oeuvres de toute nature, de livres de poésie visuelle, de dessins, d'une vingtaine de pièces de théâtre…, son oeuvre se situe, précise Marie de Brugerolle, « entre la tradition européenne de la transgression du langage, qu'illustre notamment le surréalisme, et l'art conceptuel américain ».
Une proposition de Sophie Duplaix et Didier Schulmann
Exposition et performances
Le Nouveau festival s’engage sur le chemin de Guy de Cointet (1934, Paris – 1983, Los Angeles), artiste français installé aux États-Unis, dont l’œuvre fait depuis quelques années l’objet d’une redécouverte pour être aujourd’hui considérée comme un jalon essentiel et singulier de l’histoire de la performance, entre poésie et théâtre. Composée de dispositifs et d’œuvres de toute nature, de livres de poésie visuelle, de dessins, d’une vingtaine de pièces de théâtre…, son œuvre se situe, précise Marie de Brugerolle, « entre la tradition européenne de la transgression du langage, qu’illustre notamment le surréalisme, et l’art conceptuel américain ». La présentation de Guy de Cointet au cœur des espaces du Nouveau festival s’appuie essentiellement sur les recherches des équipes du Musée national d’art moderne et de la Bibliothèque Kandinsky qui conserve les archives de l’artiste. La pièce Tell me (1979-80), ensemble d’objets scéniques que Guy de Cointet a tantôt présentés sous forme de performance, tantôt sous forme d’installation, est à la fois déployée dans l’espace et jouée en Grande salle à l’occasion de soirées exceptionnelles. Recherches sur le langage et écritures inventées sont révélées au travers de carnets de notes, de dessins et travaux préparatoires issus du fonds d’archives, source majeure pour rencontrer à la fois l’homme et l’artiste. À l’intérieur même de l’espace de la Galerie sud, des pièces de théâtre au format court sont rejouées, questionnant la relation du langage à l’objet et au geste dans une tension singulière entre banal et absurde, mot et matière, énigme et quotidien.
Quand
tous les jours sauf mardis