Cinéma / Vidéo
Weisse Reise
04 déc. 2010
L'événement est terminé
Deux marins s'aiment d'amour tendre. Ils font le tour du monde, de port en port, Tunis, Naples, Hambourg, San Francisco, Hong Kong, jusqu'à ce que leur destin soit scellé dans le sang. « Tourné en sept nuits, dans une chambre à Zürich transformée en petit théâtre de poche, Weisse Reise s'organise sous la forme d'un jeu et d'un déguisement, comme si ce monde, parcourant trois océans, était aussi mince qu'une pièce, une après-midi de joie. Les marins et les putains ont remplacé les enfants, l'innocence, elle, est restée. » P. Azoury, À Werner Schroeter, qui n'avait pas peur de la mort, éd. Capricci - Centre Pompidou, 2010
« J'ai fait la bande-son en deux jours. [...] Nous étions dans un auditorium et, en voyant le film projeté, je devais inventer tout de suite, sans avoir trop la possibilité de réfléchir à ce que j'allais dire. C'était une sorte de jeu. Seule, je faisais tous les sons sur l'image de Maria Schneider, sur celle de Margareth Clémenti, sur Mademoiselle Ziegler. Après, bien entendu, Werner a tout mélangé. C'était un travail formidable. Je devais m'approprier le caractère de chacun des personnages. » B. Ogier, propos recueillis par G. Courant le 01/12/1981, Werner Schroeter, Goethe-Institut - Cinémathèque Française, 1982.
Weisse Reise
de Werner Schroeter
Suisse / 1979 / 55’ / coul. / vof
Format d’origine et de projection : 16 mm, copie d’origine
production : Eric Franck
avec Harald Vogl, Jim Auwae, Margareth Clémenti, Tilly Soffing, Maria Schneider
voix over : Bulle Ogier
Deux marins s’aiment d’amour tendre. Ils font le tour du monde, de port en
port, Tunis, Naples, Hambourg, San Francisco, Hong Kong, jusqu’à ce que leur
destin soit scellé dans le sang.
« Tourné en sept nuits, dans une chambre à Zürich transformée en petit théâtre
de poche, Weisse Reise s’organise sous la forme d’un jeu et d’un déguisement,
comme si ce monde, parcourant trois océans, était aussi mince qu’une pièce, une
après-midi de joie. Les marins et les putains ont remplacé les enfants,
l’innocence, elle, est restée. »
P. Azoury, À Werner Schroeter, qui n’avait pas peur de la mort, éd. Capricci -
Centre Pompidou, 2010
« J’ai fait la bande-son en deux jours. [...] Nous étions dans un auditorium
et, en voyant le film projeté, je devais inventer tout de suite, sans avoir
trop la possibilité de réfléchir à ce que j’allais dire. C’était une sorte de
jeu. Seule, je faisais tous les sons sur l’image de Maria
Schneider, sur celle de Margareth Clémenti, sur Mademoiselle Ziegler. Après,
bien entendu,
Werner a tout mélangé. C’était un travail formidable. Je devais m’approprier le
caractère de chacun des personnages. »
B. Ogier, propos recueillis par G. Courant le 01/12/1981, Werner Schroeter,
Goethe-Institut - Cinémathèque Française, 1982
samedi 4 décembre, 15h, cinéma 2
séance présentée par Philippe Azoury et Emmanuel Burdeau
samedi 22 janvier, 17h, cinéma 1
séance présentée par Dominique Païni
Quand
À partir de 15h