Cinéma / Vidéo
La Mort de Maria Malibran
22 janv. 2011
L'événement est terminé
"La Mort de Maria Malibran" est inspiré par la cantatrice qui enflamma les esprits au début du 19ème siècle avec sa tessiture exceptionnelle, l'intensité de son chant, sa beauté brune et sculpturale, et dont la disparition prématurée à l'âge de 28 ans, épuisée par son art, ne fit qu'attiser le culte romantique, La Mort de Maria Malibran exalte la femme mythique, l'artiste, la diva, la déesse, la star, en une succession de visages magnifiés par leurs maquillages de scène et leurs lentes évolutions ; des duos, des trios de visages auxquels la musique sert de voix.
« Il ne faut surtout pas chercher, entre le roman de la Malibran tel qu'on peut le lire ici ou là et le film, la moindre correspondance exacte ni précise. Il ne faut y chercher ni la carrière, ni les amours, ni la gloire, ni le décès, mais une suite d'évocations associées à la mort, à l'art (musical, poétique), peut-être au génie et à l'héroïsme, à coup sûr à une certaine idée de la féminité. »
J. Aumont, « D'un cinéma qui ne serait pas du semblant », Les Cahiers du Mnam, été-automne 2010.
La Mort de Maria Malibran
Der Tod der Maria Malibran
de Werner Schroeter
RFA / 1971 / 104’ / coul. / vostf
Format d’origine : 16 mm
Format de projection : 35mm, copie neuve restaurée en numérique
avec Magdalena Montezuma, Christine Kaufmann, Candy Darling, Ingrid Caven,
Manuela Riva
Inspiré par la cantatrice qui enflamma les esprits au début du 19ème siècle
avec sa tessiture exceptionnelle, l’intensité de son chant, sa beauté brune et
sculpturale, et dont la disparition prématurée à l’âge de 28 ans, épuisée par
son art, ne fit qu’attiser le culte romantique, La Mort de Maria Malibran
exalte la femme mythique, l’artiste, la diva, la déesse, la star, en une
succession de visages magnifiés par leurs maquillages de scène et leurs lentes
évolutions ; des duos, des trios de visages auxquels la musique sert de voix.
« Il ne faut surtout pas chercher, entre le roman de la Malibran tel qu’on peut
le lire ici ou là et le film, la moindre correspondance exacte ni précise. Il
ne faut y chercher ni la carrière, ni les amours, ni la gloire, ni le décès,
mais une suite d’évocations associées à la mort, à l’art (musical, poétique),
peut-être au génie et à l’héroïsme, à coup sûr à une certaine idée de la
féminité. »
J. Aumont, « D’un cinéma qui ne serait pas du semblant », Les Cahiers du Mnam,
été-automne 2010
samedi 22 janvier, 19h30, cinéma 1
Quand
À partir de 19h30