Cinéma / Vidéo
Argila
17 déc. 2010
L'événement est terminé
Trois femmes autour d'un homme mutique. Débutant, Werner Schroeter procède déjà à une mise en abime sophistiquée des personnages et des images par une double projection du même film, l'une en noir et blanc muette l'autre en couleur sonore, avec quelques secondes de décalage, qui n'est pas sans rappeler le Warhol de "Chelsea Girls".
« Ainsi le film, au moment où on le voit, est aussitôt un souvenir de lui-même.» W. Wenders, FilmKritik, n° 5, 1969.
Précédé du film "Neurasia" : quatre personnages se livrent à un rite de célébration des sentiments et d'exaltation par le théâtre, la musique et la danse.
« Neurasia est un geste, l'expérience voluptueuse de l'amour, de la douleur et de la mort. [...] L'espace est obscur et nu ; les gestes des officiants sont vérité ; le théâtral, l'artifice, l'expression en tant que tels sont l'objectif. » D. Kuhlbrodt, « Werner Schroeter », CineGraph, text+kritik, 1984
Neurasia
de Werner Schroeter
RFA / 1968 / 41’ / nb / vostf
Format d’origine : 16 mm
Format de projection : beta digitale, restaurée en numérique
avec Carla Aulaulu, Magdalena Montezuma, Rita Bauer, Steven Adamczewski
Quatre personnages se livrent à un rite de célébration des sentiments et
d’exaltation par le théâtre, la musique et la danse.
« Neurasia est un geste, l’expérience voluptueuse de l’amour, de la douleur et
de la mort. [...] L’espace est obscur et nu ; les gestes des officiants sont
vérité ; le théâtral, l’artifice, l’expression en tant que tels sont
l’objectif. »
D. Kuhlbrodt, « Werner Schroeter », CineGraph, text+kritik, 1984
vendredi 17 décembre, 19h30, cinéma 1
séance exceptionnelle avec Ingrid Caven
samedi 1er janvier, 19h30, cinéma 2
Argila
de Werner Schroeter
RFA / 1969 / 36’ / nb et coul. / vostf
Format d’origine : 16 mm
Format de projection : beta digitale, restaurée en numérique
avec Carla Aulaulu, Magdalena Montezuma, Gisela Trowe, Sigurd Salto
Trois femmes autour d’un homme mutique. Débutant, Werner Schroeter procède déjà
à une mise en abyme sophistiquée des personnages et des images par une double
projection du même film, l’une en noir et blanc muette l’autre en couleur
sonore, avec quelques secondes de décalage, qui n’est pas sans rappeler le
Warhol de Chelsea Girls.
« Ainsi le film, au moment où on le voit, est aussitôt un souvenir de lui-même.
»
W. Wenders, FilmKritik, n° 5, 1969
vendredi 17 décembre, 19h30, cinéma 1
séance exceptionnelle avec Ingrid Caven
jeudi 6 janvier, 19h30, cinéma 2
séance présentée par Stefan Droessler
Quand
À partir de 19h30