Cinéma / Vidéo
Der Bomberpilot
02 janv. 2011
L'événement est terminé
Dans l'Allemagne d'après-guerre, le passé, le présent et les fantasmes de trois femmes qui se produisaient dans des cabarets nazis.
« C'est très proche du précédent, Eika Katappa, mais sans le rituel. J'avais les mêmes intentions, mais je voulais faire quelque chose de très comique avec la langue et aussi sincère avec les images. C'est un récit construit sur la logique de l'absurde, mais bien que des gens de gauche le défendent, ce n'est pas un film politique car je suis un individualiste. Je suis tellement individualiste que je ne peux même pas être anarchiste. Cependant ma position est politique car je travaille de façon rigoureuse dans ma limite sans me soucier des modes... ». W. Schroeter, propos recueillis par N. Simsolo, Zoom, n° 16, janvier-février 1973.
« Bien que le cinéaste ait répété à maintes reprises qu'il était apolitique, son intérêt pour l'extrême kitsch est largement informé par des questions d'ordre social, politique et historique. ». C. Flynn, The New German Cinema, University of California Press, 2004.
Der Bomberpilot
de Werner Schroeter
RFA / 1970 / 65’ / coul. / vostf
Format d’origine : 16 mm
Format de projection : beta digitale, tirée à partir de la copie inversible
originale
avec Carla Aulaulu, Mascha Elm, Magdalena Montezuma
Dans l’Allemagne d’après-guerre, le passé, le présent et les fantasmes de trois
femmes qui se produisaient dans des cabarets nazis.
« C’est très proche du précédent, Eika Katappa, mais sans le rituel. J’avais
les mêmes intentions, mais je voulais faire quelque chose de très comique avec
la langue et aussi sincère avec les images. C’est un récit construit sur la
logique de l’absurde, mais bien que des gens de gauche le défendent, ce n’est
pas un film politique car je suis un individualiste. Je suis tellement
individualiste que je ne peux même pas être anarchiste. Cependant ma position
est politique car je travaille de façon rigoureuse dans ma limite sans me
soucier des modes... »
W. Schroeter, propos recueillis par N. Simsolo, Zoom, n° 16, janvier-février
1973
« Bien que le cinéaste ait répété à maintes reprises qu’il était apolitique,
son intérêt pour l’extrême kitsch est largement informé par des questions
d’ordre social, politique et historique. »
C. Flynn, The New German Cinema, University of California Press, 2004
dimanche 2 janvier, 15h, cinéma 2
Quand
À partir de 15h