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Dépression et subversion
2004
Dépression et subversion
15-10-2004
| Type | Captation Audio, 5h 30min 48s |
|---|---|
| Réalisation | Revues Parlées - Centre Pompidou |
| Production | Centre Pompidou, Paris |
| Dans le cadre de la série |
Revues parlées |
Informations détaillées
| Résumé | Le Centre Pompidou organise un colloque : "Dépression et subversion" vendredi 15 et samedi 16 octobre 2004. Du spleen baudelairien aux formes cliniques de la dépression contemporaine, en passant par le concept de "nihilisme" (Friedrich Nietzsche), la "fatigue d'être soi" (Alain Ehrenberg) hante toute la modernité. Si la souffrance qu'elle génère lui dénie toute valeur positive dans notre société, les artistes en ont fait un puissant instrument de résistance. Des intervenants issus de tous les champs de la pensée (histoire de l'art, psychanalyse, philosophie, sociologie, théologie) s’interrogent sur la possibilité de réécrire l'histoire de l'art moderne en rendant à la dépression et aux déprimés cette place que l'ardeur tant célébrée des avant-gardes leur a peut-être volée. Matinée du vendredi 15 octobre 2004, présentée par Marianne Alphant du Centre Pompidou et animée par Mark Alizart, commissaire d’exposition. Interventions : Catherine Grenier, conservateur au Musée national d’Art moderne / Centre de création industrielle (MNAM/CCI), auteur de "Dépression et subversion, les racines de l’avant-garde" (2004), et instigatrice de ce colloque ; Pierre-Henri Castel, psychanalyste : "Toute forme est un travail de la pensée autour d’un vide : dépression, fin d’analyse et renouvellement radical". 11h30-13h00, Grande salle. |
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| Intervenants |
Marianne Alphant
:
intervenant
Mark Alizart : intervenant Pierre-Henri Castel : intervenant Catherine Grenier : intervenant |
