Cinéma / Vidéo
Tokyo !
27 févr. 2011
L'événement est terminé
Un film collectif dans lequel trois réalisateurs différents livrent leur vision de la ville de Tokyo. Dans le segment de Gondry, un jeune couple tente de s'installer à Tokyo. Le jeune homme, cinéaste débutant, s'apprête à projeter son premier film ; quant à la jeune fille, plus indécise, elle peine à trouver un travail, et va devenir l'objet d'une étrange transformation.
« Entamé sur le ton de la douce comédie, le film [Interior Design] change de registre en se resserrant sur la femme du cinéaste. Celle-ci connaît un processus étrange de métamorphose, dont le déroulement donne lieu à un pur moment de grâce. Le cinéaste réussit alors dans un même élan fugitif à combiner le fantastique, le conte à la Pinocchio et l'archéologie du cinéma [...]. Ce n'est pas seulement le personnage qui s'accomplit ici de manière imprévisible, c'est aussi Michel Gondry. »
Jacques Morice, Télérama, 15 octobre 2008.
How to Blow Up a Helicopter
de Michel Gondry
États-Unis, 2009, 15’, coul., vostf
avec Ayako Fujitani, Steven Seagal
Tôkyô!
film collectif de Michel Gondry, Bonh Joon-ho et Léos Carax
Allemagne - Corée - France - Japon, 2008, 105’, coul., vostf
Interior Design, de Michel Gondry
avec Ayumi Ito, Nao Omori
Un jeune couple tente de s’installer à Tokyo. Le jeune homme, cinéaste
débutant, s’apprête à projeter son premier film ; quant à la jeune fille, plus
indécise, elle peine à trouver un travail. Délaissée et se sentant inutile,
elle va devenir l’objet d’une étrange transformation.
Merde, de Léos Carax
avec Denis Lavant
Une ignoble créature surnommée « la créature des égouts » par les médias, sème
la panique dans les rues de Tokyo. Son arrestation et le procès qui s’ensuit
vont diviser la population de la ville.
Shaking Tokyo, de Bong Joon-Ho
avec Ryo Kase
Le destin d’un hikikomori, personne s’isolant volontairement du monde
extérieur, va se trouver bouleversé par sa rencontre avec une jolie livreuse de
pizzas.
« Entamé sur le ton de la douce comédie, le film [Interior Design] change de
registre en se resserrant sur la femme du cinéaste. Celle-ci connaît un
processus étrange de métamorphose, dont le déroulement donne lieu à un pur
moment de grâce. Le cinéaste réussit alors dans un même élan fugitif à combiner
le fantastique, le conte à la Pinocchio et l’archéologie du cinéma […]. Ce
n’est pas seulement le personnage qui s’accomplit ici de manière imprévisible,
c’est aussi Michel Gondry. »
Jacques Morice,Télérama, 15 octobre 2008.
Prochaine séance le samedi 12/03, 20h (Cinéma 1)
Quand
À partir de 17h30