Débat / Rencontre
Internet mon amour
17 févr. 2008
L'événement est terminé
A partir de février, les rencontres « Internet mon amour » vous invitent avec sérieux et humour, légèreté et imagination à envisager ensemble au cours d'après-midi du dimanche, les problématiques liées à ces pratiques. Dimanche 17 Février 2008 : Faut-il avoir peur du Web 2.0 ? Invité : Geert Lovink, théoricien des médias, critique d'art et activiste
Est-il possible de penser l'Internet ? Le réseau des réseaux a infiltré nos vies, nos économies, nos pratiques sociales et culturelles, transformant et bouleversant l'économie, les relations humaines et notre rapport au monde.
Pourtant, le Web, le P2P, les chats et autres transferts de données informatiques restent l'objet de fantasmes plus ou moins médiatiques, entre mirages d'une réussite facile (hier la « bulle » de la Net-économie, aujourd'hui le Web 2.0) et craintes du grand méchant pédophile, d'un terrorisme en réseau ou d'un piratage généralisé.
A l'initiative d'« artisans » du réseau (chercheurs, artistes, critiques, observateurs et activistes), les rencontres « Internet mon amour » proposent de tisser des liens entre ces réseaux immatériels et le monde de la pensée (écrivains, biologistes, économistes, philosophes). Parce que les enjeux artistiques, culturels, économiques, politiques, sociaux et identitaires d'Internet dépassent largement ses acteurs.
A partir de février, les rencontres « Internet mon amour » vous invitent avec sérieux et humour, légèreté et imagination à envisager ensemble au cours d'après-midi du dimanche, les problématiques liées à ces pratiques. Invités prestigieux, chercheurs ou spécialistes de l'écologie Chacun sera convié pour relever le défi de penser les réseaux pour penser le monde.
Dimanche 17 Février 2008
Faut-il avoir peur du Web 2.0 ?
Invité : Geert Lovink, théoricien des médias, critique d'art et activiste
Qu'est qu'on risque sur Internet? Le réseau des réseaux a infiltré nos vies, nos économies, nos pratiques sociales et culturelles, transformant et bouleversant l'économie, les relations humaines et notre rapport au monde.
Pourtant, le Web, le P2P, les chats et autres transferts de données informatiques restent l'objet de fantasmes plus ou moins médiatiques, entre mirages d'une réussite facile (hier la « bulle » de la Net-économie, aujourd'hui le Web 2.0) et craintes du grand méchant pédophile, d'un terrorisme en réseau ou d'un piratage généralisé.
A l'initiative d'« artisans » du réseau (chercheurs, artistes, critiques, observateurs et activistes), les rencontres «Internet mon amour», dans le cadre de la programmation Troisième Œil du centre Pompidou, proposent de tisser des liens entre ces réseaux immatériels et le monde de la pensée (écrivains, biologistes, économistes, philosophes). Parce que les enjeux artistiques, culturels, économiques, politiques, sociaux et identitaires d'Internet dépassent largement ses acteurs.
Les rencontres « Internet mon amour » proposent d'envisager ensemble au cours d'après-midis du dimanche, les problématiques liées à ces pratiques. Pour inaugurer ce rendez-vous, les rencontres ont invité un témoin privilégié de l'évolution des nouveaux médias, Geert Lovink, activiste, critique d'art et co-fondateur de la liste de diffusion Nettime en 1995. Le directeur de l'Institut des Cultures en réseau d'Amsterdam organise de nombreuses manifestations internationales (dernière en date, Vidéo Vortex, en janvier). Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont aucun traduit en français Dernier publié : « Zero Comments: Blogging and Critical Internet Culture » (Paperback, 2007).
Dialogueront avec lui Agnès de Cayeux, artiste, Géraldine Gomez, curatrice au Centre Pompidou, David Guez, artiste hacktiviste, Valentin Lacambre, figure historique de l'Internet indépendant français, fondateur d'Altern et de Gandi, Nathalie Magnan, tacticienne des médias et cyberféministe, Annick Rivoire, créatrice du site poptronics.fr, Anne Roquigny, curatrice nouveaux médias.
Une production du Centre Pompidou en partenariat avec Poptronics, l'agenda des cultures électroniques.
Quand
À partir de 18h