Cinéma / Vidéo
Human Nature
11 mars 2011
L'événement est terminé
Lila, une naturaliste à la pilosité abondante, et Nathan, un scientifique obsédé par les bonnes manières, ont perdu foi en la race humaine. Elle a trouvé le repos en allant vivre dans la jungle et en s'entourant d'animaux. Lui mène des expériences sur des souris en espérant rendre les hommes meilleurs. Sur leur route, ils font la connaissance de Puff, un homme-singe recueilli dans la jungle, et tentent de l'éduquer. Mais Lila va se battre pour préserver l'âme vierge et innocente de cet individu hors norme.
« Gondry importe discrètement son univers dans celui de Kaufman. Et son "syncrétisme" visuel - un mélange de prises de vue en studio et en décors naturels- nous émerveille toujours autant. On ne peut s'empêcher d'être légèrement désappointé par tant de sagesse de la part d'un réalisateur surdoué mais dans le même temps, on admire ce refus d'une trop facile virtuosité. »
Nathalie Piernaz, Chronicart, septembre 2001.
L'Expédition fatale
de Michel Gondry et Jean-Louis Bompoint
France, 1987, 2’, coul.
One Day
de Michel Gondry
États-Unis, 2001, 7’, coul.
avec David Cross, Michel Gondry
Human Nature
de Michel Gondry
États-Unis, 2001, 86’, coul., vostf
avec Patricia Arquette, Rhys Ifans, Tim Robbins
Lila, une naturaliste à la pilosité abondante, et Nathan, un scientifique
obsédé par les bonnes manières, ont perdu foi en la race humaine. Elle a trouvé
le repos en allant vivre dans la jungle et en s’entourant d’animaux. Lui mène
des expériences sur des souris en espérant rendre les hommes meilleurs. Sur
leur route, ils font la connaissance de Puff, un homme-singe recueilli dans la
jungle, et tentent de l’éduquer. Mais Lila va se battre pour préserver l’âme
vierge et innocente de cet individu hors norme.
« Gondry importe discrètement son univers dans celui de Kaufman. Et son
“syncrétisme“ visuel -un mélange de prises de vue en studio et en décors
naturels- nous émerveille toujours autant. On ne peut s’empêcher d’être
légèrement désappointé par tant de sagesse de la part d’un réalisateur surdoué
mais dans le même temps, on admire ce refus d’une trop facile virtuosité. »
Nathalie Piernaz, Chronicart, septembre 2001.
Quand
À partir de 20h