Cinéma / Vidéo
La Science des rêves
05 mars 2011
L'événement est terminé
Fraîchement débarqué à Paris après la mort de son père mexicain, Stéphane, jeune homme rêveur et créatif, retrouve sa mère et l'appartement où il a passé son enfance. Contraint de trouver un emploi, il hérite d'un travail monotone de graphiste dans une boîte de confection de calendriers ringards. Pour échapper à cette réalité, le jeune homme s'invente une émission de télévision sur le rêve qu'il anime devant des caméras en carton. Un jour, au détour d'un déménagement haut en couleurs, Stéphane fait la connaissance de sa voisine de palier,
Stéphanie, une jeune femme un peu secrète, qui partage avec lui son goût pour les inventions et les créations loufoques. En suivant les conseils plus ou moins avisés de Guy, son collègue de boulot, Stéphane va essayer de la séduire, et ce malgré une aptitude assez catastrophique à mélanger ses rêves à une réalité qu'il ne parvient jamais à maîtriser.
"Que La Science des rêves soit largement autobiographique est à la fois évident, et de peu d'importance : la petite musique que fait entendre Michel Gondry est universelle. C'est celle de la difficulté à devenir adulte et des malentendus amoureux, et la mélancolie qui l'accompagne est magnifiquement illustrée par une musique de Dick Annegarn (Coutances), utilisée lors d'une balade le long du canal Saint-Martin."
Aurélien Ferenczi, Télérama, 16 août 2006.
Tiny
de Michel Gondry
France, 2004, 1’, coul.
La Lettre
de Michel Gondry
France, 1998, 14’, coul.
avec Thomas Mouty, Jérôme Monot, Elodie Saada
La Science des rêves
de Michel Gondry
France, 2006, 95’, coul.
avec Gael Garcia Bernal, Alain Chabat, Charlotte Gainsbourg, Miou Miou
Fraîchement débarqué à Paris après la mort de son père mexicain, Stéphane,
jeune homme rêveur et créatif, retrouve sa mère et l’appartement où il a passé
son enfance. Contraint de trouver un emploi, il hérite d’un travail monotone de
graphiste dans une boîte de confection de calendriers ringards. Pour échapper à
cette réalité, le jeune homme s’invente une émission de télévision sur le rêve
qu’il anime devant des caméras en carton. Un jour, au détour d’un déménagement
haut en couleurs, Stéphane fait la connaissance de sa voisine de palier,
Stéphanie, une jeune femme un peu secrète, qui partage avec lui son goût pour
les inventions et les créations loufoques. En suivant les conseils plus ou
moins avisés de Guy, son collègue de boulot, Stéphane va essayer de la séduire,
et ce malgré une aptitude assez catastrophique à mélanger ses rêves à une
réalité qu’il ne parvient jamais à maîtriser.
"Que La Science des rêves soit largement autobiographique est à la fois
évident, et de peu d’importance : la petite musique que fait entendre Michel
Gondry est universelle. C’est celle de la difficulté à devenir adulte et des
malentendus amoureux, et la mélancolie qui l’accompagne est magnifiquement
illustrée par une musique de Dick Annegarn (Coustances), utilisée lors d’une
balade le long du canal Saint-Martin."
Aurélien Ferenczi, Télérama, 16 août 2006.
Quand
À partir de 20h