Débat / Rencontre
Claudia Triozzi
Paroles de danse
19 avril 2008
L'événement est terminé
« Claudia Triozzi apprend ce que veut dire danser chez Odile Duboc, découvre qu'elle a une voix chez Georges Appaix, comprend que le mouvement ne lui suffit pas et qu'elle peut travailler seule chez François Verret. Depuis la fin des années 1990, la chorégraphe signe une série de pièces fantasques aux scénographies baroques trouées par sa voix travaillée du côté de Meredith Monk et de Carmelo Bene. Elle est aujourd'hui une figure fantomatique, diffusée dans un jeu d'illusions d'optique, de troubles visuels, à regarder peut-être comme une Giselle contemporaine hallucinée qui composerait ses pièces comme autant d'actes psychédéliques. Chaque création développe un piège pour le regard du spectateur à la recherche de ce corps que Triozzi dérobe comme une image dans le tapis. Et chacun de se demander : que vient-on regarder dans cette danse postchorégraphique ? » Laurent Goumarre
Rencontre animée par Irène Filiberti avec la participation de Michela Marzano et accompagnée de projections.
« Claudia Triozzi apprend ce que veut dire danser chez Odile Duboc, découvre
qu’elle a une voix chez Georges Appaix, comprend que le mouvement ne lui suffit
pas et qu’elle peut travailler seule chez François Verret. Depuis la fin des
années 1990, la chorégraphe signe une série de pièces fantasques aux
scénographies baroques trouées par sa voix travaillée du côté de Meredith Monk
et de Carmelo Bene. Elle est aujourd’hui une figure fantomatique, diffusée dans
un jeu d’illusions d’optique, de troubles visuels, à regarder peut-être comme
une Giselle contemporaine hallucinée qui composerait ses pièces comme autant
d’actes psychédéliques. Chaque création développe un piège pour le regard du
spectateur à la recherche de ce corps que Triozzi dérobe comme une image dans
le tapis. Et chacun de se demander : que vient-on regarder dans cette danse
postchorégraphique ? » Laurent Goumarre
Rencontre animée par Irène Filiberti avec la participation de Michela Marzano
et accompagnée de projections.
Le Samedi 19 avril, à 17h, dans la Petite salle, niveau -1
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Quand
À partir de 17h