Cinéma / Vidéo
King Vidor
07 juil. 2011
L'événement est terminé
Interrogé par Hubert Knapp, King Vidor évoque ses débuts, les rapports qu'il entretenait avec les studios, les bouleversements de l'arrivée du parlant et quelques-uns de ses chefs d'oeuvre, tels "qu'Hallelujah !" et "Le Rebelle." Suivi "d'Hallelujah !", de King Vidor.
KING VIDOR d’André S. Labarthe et Hubert Knapp France / 1969 / 40’ / nb / vostf avec King Vidor Interrogé par Hubert Knapp, King Vidor évoque ses débuts, les rapports qu’il entretenait avec les studios, les bouleversements de l’arrivée du parlant et quelques-uns de ses chefs d’oeuvre, tels qu’Hallelujah ! et Le Rebelle. « C’est un homme formidable, d’une grande simplicité, très passionné mais qui a cette curieuse façon désintéressée, détachée, de parler de ses films comme si c’était ceux des autres, que nous avons trouvée chez la plupart des "grands" du cinéma américain, Vidor, Ford, Walsh ou d’autres ». Hubert Knapp, L’Humanité, février 1969 HALLELUJAH ! de King Vidor États-Unis / 1929 / 100’ / nb / vostf avec Daniel Haynes, Nina Mae McKinney, William Fountaine, Harry Gray Les mésaventures d’un jeune noir qui tombe amoureux d’une entraîneuse puis devient prêcheur. À l’orée du parlant, King Vidor réalise un chef-d’oeuvre de cinéma sonore qui est aussi le premier film montrant la communauté noire du Sud des États-Unis avec une véritable empathie. Il capte les racines religieuses et profanes d’une campagne encore largement imprégnée par la mémoire de l’esclavage.
Quand
À partir de 19h30