Hors les murs
Happy end - Le Petit Poucet
Agora 2008 - Spectacle
14 juin 2008
L'événement est terminé
Le Petit Poucet fait partie des Contes de ma Mère l'Oye de Charles Perrault, écrits en 1697. L'histoire en est connue : un bûcheron et une bûcheronne qui, ne pouvant plus nourrir leurs sept enfants, décident de les abandonner dans la forêt, à plusieurs reprises. Et chaque fois, grâce au petit dernier, ils retrouveront le chemin de leur foyer, échappant à l'ogre qui veut les dévorer.
Avec la collaboration du plasticien Hans Op de Beeck qui réalise un travail graphique original, Georges Aperghis met l'accent sur la cruauté de ce récit où la voracité côtoie l'anthropophagie. La perte de traces, la mémoire altérée, l'errance dans une jungle citadine font de l'enfant, pour Aperghis, un « Poucet K »: un personnage kafkaïen, que l'on suit à travers les voix off de la narration, invisibles, mutantes et spatialisées.
Musique : Georges Aperghis
Film d'animation : Hans Op de Beeck, Bruno Hardt, Klaas Verpoest
Ictus
Direction : Georges-Elie Octors
Réalisation informatique musicale Ircam/Sébastien Roux
Production de l'Opéra de Lille, présentée par la Cité de la musique et l'Ircam-Centre Pompidou.
Film d’animation de Hans Op de Beeck, Bruno Hardt, Klaas Verpoest
Musique Georges Aperghis
Film d’animation Hans Op de Beeck, Bruno Hardt, Klaas Verpoest
Ictus
Direction/Georges-Elie Octors
Réalisation informatique musicale Ircam/Sébastien Roux
Production de l’Opéra de Lille, présentée par la Cité de la musique et
l’Ircam-Centre Pompidou. Avec le soutien de la Sacem.
Le Petit Poucet fait partie des Contes de ma Mère l’Oye de Charles Perrault,
écrits en 1697. L’histoire en est connue : un bûcheron et une bûcheronne qui,
ne pouvant plus nourrir leurs sept enfants, décident de les abandonner dans la
forêt, à plusieurs reprises. Et chaque fois, grâce au petit dernier, ils
retrouveront le chemin de leur foyer, échappant à l’ogre qui veut les dévorer.
Avec la collaboration du plasticien Hans Op de Beeck qui réalise un travail
graphique original, Georges Aperghis met l’accent sur la cruauté de ce récit où
la voracité côtoie l’anthropophagie. La perte de traces, la mémoire altérée,
l’errance dans une jungle citadine font de l’enfant, pour Aperghis, un «Poucet
K»: un personnage kafkaïen, que l’on suit à travers les voix off de la
narration, invisibles, mutantes et spatialisées.
Quand
À partir de 20h
Où
Cité de la musique, Paris