Spectacle / Concert
Dans l'atelier de Klaus Huber
Ensemble Les jeunes solistes
12 déc. 2005
L'événement est terminé
Klaus Huber
Lamentationes sacrae et profanae ad responsoria Iesualdi
Carlo Gesualdo
Omnes amici mei, Vinea mea electa, Tenebrae factae sunt
Céline Boucard et Anne Marie Jacquin, sopranos
Michel Géraud, contreténor
Hugues Primard et Laurent David, ténors
Jean-Christophe Jacques, baryton
Caroline Delume, théorbe, guitare
Éric Lamberger, clarinette basse, cor de basset
Direction Rachid Safir
Coproduction Ircam-Centre Pompidou, les Jeunes solistes.
Maître pour plusieurs générations de compositeurs venus dans sa classe de Freiburg, - de Ferneyhough à Jarrell, de Nunes à Rihm, de Saariaho à Pagh Paan - Klaus Huber est l'un des « passeurs » les plus importants depuis Olivier Messiaen. Sa musique qui a la vertu d'une protestation et d'un ébranlement de la conscience prend souvent la forme d'une Passion sur des textes politiques ou des poèmes de la résistance. Mais sa valeur demeure strictement musicale.
Pour enrichir le champ et les échelles de la musique occidentale, Klaus Huber est entré en résonance avec les musiques anciennes en particulier celle de Gesualdo et avec les modalités de la musique arabe. Dans son catalogue, la musique vocale occupe une place de prédilection. Les jeunes solistes, fidèles interprètes du compositeur, nous invitent dans l'atelier d'une création en préparation pour le Festival de Lucerne.
Klaus Huber
Lamentationes sacrae et profanae ad responsoria Iesualdi
Carlo Gesualdo
Omnes amici mei, Vinea mea electa, Tenebrae factae sunt
Céline Boucard et Anne Marie Jacquin, sopranos
Michel Géraud, contreténor
Hugues Primard et Laurent David, ténors
Jean-Christophe Jacques, baryton
Caroline Delume, théorbe, guitare
Éric Lamberger, clarinette basse, cor de basset
Direction Rachid Safir
Coproduction Ircam-Centre Pompidou, les Jeunes solistes.
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
Maître pour plusieurs générations de compositeurs venus dans sa classe de
Freiburg, – de Ferneyhough à Jarrell, de Nunes à Rihm, de Saariaho à Pagh Paan
– Klaus Huber est l’un des « passeurs » les plus importants depuis Olivier
Messiaen.
Sa musique qui a la vertu d’une protestation et d’un ébranlement de la
conscience prend souvent la forme d’une Passion sur des textes politiques ou
des poèmes de la résistance. Mais sa valeur demeure strictement musicale.
Pour enrichir le champ et les échelles de la musique occidentale, Klaus Huber
est entré en résonance avec les musiques anciennes en particulier celle de
Gesualdo et avec les modalités de la musique arabe. Dans son catalogue, la
musique vocale occupe une place de prédilection. Les jeunes solistes, fidèles
interprètes du compositeur, nous invitent dans l’atelier d’une création en
préparation pour le Festival de Lucerne.
Quand
À partir de 20h30