Spectacle / Concert
Daniel Larrieu
N'oublie pas ce que tu devines

L'événement est terminé

Daniel Larrieu chorégraphie et mise en scène
Franck Jamin assistant à la mise en scène
avec Jérôme Andrieu, Agnès Coutard, Christine Jouve, Daniel Larrieu, Anne Laurent, Joël Luecht
patrickandrédepuis1966 scénographie, vidéo
Scanner (Robin Rimbaud) création musicale
Françoise Michel lumières
Marthe Desmoulins stylisme / Didier Despin assistant / Atelier Jean-Pierre Ollier broderies
Christophe Poux direction technique
"N'oublie pas ce que tu devines se déplie comme un lit de songes dans un climat fascinant, sorte d'apesanteur qui tient tant aux nappes musicales distillées par Scanner qu' aux lumières de Françoise Michel et aux images discrètes, végétales, nuageuses, se profilant au sol ou en fond de scène. Cela apparaît ou disparaît avec l'idée d'une matière fluide, quasi transparente, insaisissable, perpétuellement mouvante tandis que les six interprètes évoluent sur une même ligne temporelle et des mesures différentes. (...)
Dans cet hommage au pur mouvement, les gestes distillent des émotions vaporeuses, une perception flottante, quelque chose d'un sentiment qui relie au cosmos. N'oublie pas ce que tu devines se regarde comme un paysage abstrait." Irène Filiberti
Daniel Larrieu a fait ses débuts de danseur à la fin des années 70. Il est considéré comme une figure marquante de la danse contemporaine française dès les années 80.

Daniel Larrieu chorégraphie et mise en scène
Franck Jamin assistant à la mise en scène
avec Jérôme Andrieu, Agnès Coutard, Christine Jouve, Daniel Larrieu, Anne
Laurent, Joël Luecht
patrickandrédepuis1966 scénographie, vidéo
Scanner (Robin Rimbaud) création musicale
Françoise Michel lumières
Marthe Desmoulins stylisme / Didier Despin assistant / Atelier Jean-Pierre
Ollier broderies
Christophe Poux direction technique
"N'oublie pas ce que tu devines se déplie comme un lit de songes dans un climat
fascinant, sorte d'apesanteur qui tient tant aux nappes musicales distillées
par Scanner qu’ aux lumières de Françoise Michel et aux images discrètes,
végétales, nuageuses, se profilant au sol ou en fond de scène.
Cela apparaît ou disparaît avec l'idée d'une matière fluide, quasi
transparente, insaisissable, perpétuellement mouvante tandis que les six
interprètes évoluent sur une même ligne temporelle et des mesures différentes.
(...)
Dans cet hommage au pur mouvement, les gestes distillent des émotions
vaporeuses, une perception flottante, quelque chose d’un sentiment qui relie au
cosmos.
N'oublie pas ce que tu devines se regarde comme un paysage abstrait".
Irène Filiberti
Quand
À partir de 20h30