Cinéma / Vidéo
Programme 13 - Les Affinités électives, Snow / Frampton
02 déc. 2002
L'événement est terminé
Snowblind de Hollis Frampton
1968 / 5' / 16mm / nb / silenc.
Hommage à la sculpture environnementale de Michael Snow, Blind. Ce film propose des analogies, à l'aide de trois styles de montage filmique pour trois modes de perception différents, inspirés par cette sculpture.
Hapax Legomena I : nostalgia de Hollis Frampton
1971 / 36' / 16mm / nb / son.
"Nostalgia commence comme un regard ironique sur un passé personnel pour créer son propre temps filmique, un passé et un futur générés par l'attente mise à jour par une stratégie de base disjonctive." Annette Michelson.
"Avec Nostalgia le temps que prend une photographie pour se consumer (et par là-même renforcer son aspect bidimensionnel) devient la montre dans le film, tandis que Frampton tient le rôle de critique, glosant asynchroniquement, expliquant, racontant, faisant un mythe de ses premiers travaux artistiques autant que de sa vie, alors qu'il les soumet tous les deux au feu d'une structure labyrinthique. De même pour Borges, l'un de ses premiers maîtres, et il sourit derrière la façade de la logique, des mathématiques et des démonstrations physiques qui sont les métaphores formelles de la plupart des films de Frampton." P. Adams Sitney.
One Second in Montreal de Michael Snow
1969 / 17' / 16mm / nb / silenc.
En voyant One Second in Montreal, vous devez être capable de vivre avec ce qui s'y produit pendant un certain temps avant de pouvoir commencer à comprendre et à méditer. C'est un film littéralement fait à partir de bouts de temps.
Musique à écouter dans le noir entre deux films :
CCMC et Christian Marclay : To Toronto. (Concert à Toronto du 5 /12 / 2000)
Extrait de 5'.
Michael Snow (piano, synthétiseur), Paul Dutton (voix), John Oswald (saxo alto), Christian Marclay (platines).
Quand
À partir de 19h