Cinéma / Vidéo
Le Voyage en ballon
19 févr. 2011
L'événement est terminé
Un grand-père et son petit-fils survolent la France du nord au sud en montgolfière.
Vues de la France survolée par une montgolfière du nord jusqu'au sud, en Camargue. Le grand-père aéronaute-inventeur et son petit-fils, qui se hisse clandestinement à bord, voyagent dans la nacelle tandis que leur mécanicien suit leur trajectoire par la route avec pour mission de préparer chacun de leurs atterrissages.
« C'est le premier film que j'ai vu, un jeudi après-midi au patronage, sur une copie 16 mm ! J'étais émerveillé. J'aime le côté Jules Verne du film, le grand-père a vraiment un côté Professeur Tournesol du début du siècle. La caméra est placée sous la nacelle d'un hélicoptère, et le son est post-produit, la diction des acteurs est battue par le son des pales, ça donne un côté magique. Cette carte blanche ne comporte pas de film américain, j'habite aux États-Unis, j'ai beaucoup accès à ce cinéma. J'aime beaucoup regarder des films français, ça me rattache à la France. Pour moi, ces images fades de villes de province montrées par Chabrol ou Mocky, me renvoient à mon passé. Et comme je suis nostalgique, ça me procure des images qui me chatouillent » Michel Gondry.
Le Voyage en ballon
d’Albert Lamorisse
France, 1960, 85’, coul.
avec Pascal Lamorisse, André Gille, Maurice Baquet, Jack Lemmon
Vues de la France survolée par une montgolfière du nord jusqu’au sud, en
Camargue. Le grand-père aéronaute-inventeur et son petit-fils, qui se hisse
clandestinement à bord, voyagent dans la nacelle tandis que leur mécanicien
suit leur trajectoire par la route avec pour mission de
préparer chacun de leurs atterrissages.
« C’est le premier film que j’ai vu, un jeudi après-midi au patronage, sur une
copie 16 mm ! J’étais émerveillé. J’aime le côté Jules Verne du film, le
grand-père a vraiment un côté Professeur Tournesol du début du siècle. La
caméra est placée sous la nacelle d’un hélicoptère, et le son est
post-produit, la diction des acteurs est battue par le son des pales, ça donne
un côté magique. Cette carte blanche ne comporte pas de film américain,
j’habite aux États-Unis, j’ai beaucoup accès à ce cinéma. J’aime beaucoup
regarder des films français, ça me rattache à la France. Pour moi, ces images
fades de villes de province montrées par Chabrol ou Mocky, me renvoient à mon
passé. Et comme je suis nostalgique, ça me procure des images qui me
chatouillent… »
Michel Gondry.
Quand
À partir de 15h