Cinema
Walk thru Walls
05 Feb 2011
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Travis Diehl s'inspire d'une situation cinématographique classique : un homme seul dans le paysage. Il se réfère à Antonioni ou à James Benning. Mais, dans ce film, l'homme s'abandonne à la réflexion. Un monologue intérieur délirant se déploie en écho au paysage de la Vallée de la Mort. Le désert et cet espace mental tordu ne font plus qu'un. Le dispositif n'est pas nouveau mais présente ici une grande liberté de ton, jubilatoire. Il dessine une vision, une certaine phénoménologie américaine.
WALK THRU WALLS de Travis Diehl. Etats-Unis, 2010, 21’
Travis Diehl s'inspire d'une situation cinématographique classique : un homme
seul dans le paysage. Il se réfère à Antonioni ou à James Benning. Mais, dans
ce film, l'homme s'abandonne à la réflexion. Un monologue intérieur délirant se
déploie en écho au paysage de la Vallée de la Mort. Le désert et cet espace
mental tordu ne font plus qu'un. Le dispositif n'est pas nouveau mais présente
ici une grande liberté de ton, jubilatoire. Il dessine une vision, une certaine
phénoménologie américaine.
When
From 7pm
