Cinema
Déréliction
30 Nov 2005 - 1 Mar 2006
The event is over
Alone de Stephen Dwoskin
1963 / 13' / 16mm / nb / son.
« [...] Dans ce film, la palette des contenus est très large. Cela va de l'intrigue narrative aux images associatives et abstraites, au point où le film, où la caméra elle-même, devient le sujet. Le contenu peut être une simple image, ou il peut être du temps. Il peut être même l'environnement dans lequel le film se déroule. La lumière et la structure peuvent être seules le sujet, tout comme le temps lui-même. L'espace dans lequel le film vit est vaste et nébuleux. » Stephen Dwoskin
Three de James Herbert
1974 / 25' / 16mm / coul./ silenc.
« Mêlant éléments picturaux et photographiques, les études de nus de Herbert évoquent celles de Bonnard. Le cinéaste commence par observer ses sujets de manière directe, en les laissant évoluer dans des intérieurs dépouillés. Puis il remanie le résultat en le refilmant - c'est-à-dire en filmant la projection de ces premières images. » Scott Hammen
The end de Christopher MacLaine
1953 / 33' / 16 mm / coul. / son.
« Dans The End, les vies de divers personnages s'entrecroisent le jour de la fin du monde : un meurtrier à la Raskolnikov, un fuyard qui sera tué par hasard, un homme - bon chic bon genre - qui cherchera à se sacrifier pour un lépreux, deux êtres solitaires qui se rencontrent sur une plage et l'histoire fragmentaire d'une âme blessée - interprétée par MacLaine - qui, abandonnant soudain une vengeance meurtrière, sera touchée par la grâce, façon Pauline. »
P. Adams Sitney
When
From 7pm
From 7pm