Cinema
Elise Florenty et Marcel Türkowsky
27 Jan 2013
The event is over
Enquête de terrain errante, attentive aux manifestations de l'irrationnel et aux mécanismes de résistance, la poétique du duo berlinois se décline sous toutes sortes de formes - audio-visuelles, structurelles, narratives ou hypnotiques. Opérant par disjonctions successives entre ce qui est dit et ce qui est vu, leur recherche interroge la démultiplication du soi à travers différents contextes, le géographique, l'historique et le politique.
Enquête de terrain errante, attentive aux manifestations de l'irrationnel et aux mécanismes de résistance, la poétique du duo berlinois se décline sous toutes sortes de formes - audio-visuelles, structurelles, narratives ou hypnotiques. Opérant par disjonctions successives entre ce qui est dit et ce qui est vu, leur recherche interroge la démultiplication du soi à travers différents contextes, le géographique, l'historique et le politique.
PETIT ORGANON POUR LE HÉROS
FRANCE / 2012 / 12 MIN.
Cet essai-vidéo déploie une histoire racontée à travers les yeux d’un perroquet. Lui seul aurait su garder en mémoire les métamorphoses de la figure moderne de l’Anti-Héros Anonyme. La narration se déconstruit en zones de couleurs, desquelles émergent des fragments fictionnels et documentaires tournés à Rio : scènes rejouées du cinéma novo brésilien, documents filmés d’occupation urbaine, …
(première française)
DELIRIUM AMBULARE
FRANCE / 2012 / 9 MIN.
Le projet est une série de courts films super 8 déployant une marche carnavalesque de pieds déambulant sur divers terrains de jeux dans le monde. Ces espaces pour enfant ont cette particularité de présenter un aspect constructiviste (aplats de couleurs primaires, structures angulaires) et une certaine entropie (couches successives de couleurs, décrépitude...).
(première française)
HOLY TIME IN ETERNITY, HOLY ETERNITY IN TIME
FRANCE / 2011 / 43 MIN.
Ce film tout en sensations, en impressions, en sensualité, saisit un portrait – mythique, littéraire – du Mississippi. Faulkner hante le film, comme il hante nos images de ce Sud des États-Unis. Et comme nous hante la voix-off de la première séquence, cette voix qui déroule un monologue impitoyable basé sur un récit personnel où se dessine la construction plurielle d’un « moi ».
When
From 8pm