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André Pieyre De Mandiargues
1980
André Pieyre De Mandiargues
Traduit de l'italien
19-11-1980
Tipo | Captación Audio, 1h 9min 25s |
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Dirección | Revue parlée |
Producción | Centre Pompidou, Paris |
En el marco de la serie |
Revue parlée |
Información detallada
Resumen | Fasciné par l’Italie et sa littérature, l’écrivain surréaliste français André-Pieyre de Mandiargues est invité par le Centre Pompidou à lire ses traductions italiennes. En introduction, il déclare ne pas avoir de patrie, mais un langage : la langue française et il avoue sa tendresse pour le latin et les langues qui en sont issues italien, provencal, catalan, français… André-Pieyre de Mandiargues débute par la lecture en italien de la "Canzone" du poète et écrivain italien Dante Alighieri, composée en trois langues : italien, toscan et provençal. Puis il présente ses traductions françaises de divers ouvrages d’auteurs italiens. Il lit un sonnet de Giacomo Lubrano, sicilien du XVIIème siècle, "Les cédrats fantastiques des jardins de Reggio" extrait du recueil "Il Dolore" (1947). Puis il lit deux poèmes du poète italien Giuseppe Ungaretti, pour lui "le plus grand poète de son temps" "Les souvenirs", tiré de "Il dolor" (1947) et "Lamentations caïrotes". Il poursuit sa lecture par la traduction d’un étrange récit de Tommaso Landolfi "La femme de Gogol" (1961). Sur le même thème étonnant de la poupée gonflable, il présente une courte nouvelle intitulée "Miss caoutchouc" d'Alberto Savinio, écrivain et peintre italien. Lecture, toujours dans sa traduction, de poèmes en prose du poète et peintre italien Filippo de Pisis intitulés "L'offrande", "Intermezzo" et "La petite bassaride", texte tirée de "La ville aux cent merveilles" (1972). Du même auteur, André-Pieyre de Mandiargues lit "Rencontre" (en italien), "Le blond de ta blondeur", "Presqu'un enfant", "Frère le plus faible", "Roue moi de coups", "Déshabille toi", "Intact", "Après la volupté", "Archange glorieux" et "Pauvre poète", extraits de "Onze + un", onze chants d’amour d’un "caractère hautement homosexuel". A ces chants, Filippo de Pisis en ajouta un douzième, "Elégie", dédié à sa nièce. Cette nièce n’est autre que Bona Tibertelli de Pisis, l’épouse d’André-Pieyre de Mandiargues. 20h30, Petite salle. |
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Participantes |
André Pieyre De Mandiargues
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intervenant
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