Sans titre

Les Durand-Dessert défendent également les artistes de la scène française, comme c’est le cas pour Tatah, qui expose à la galerie en 1999 puis en 2001.

Plutôt que de peindre des personnes particulières, Djamel Tatah s’intéresse aux représentations génériques de l’humain. Ses œuvres figurent des personnages à taille réelle, cadrés selon différents points de vue et dans des situations ordinaires ou faisant référence à l’actualité. Il compose ses portraits d’après des photographies qu’il projette sur la toile et dont il redessine les silhouettes. Cet homme en buste qui semble dormir évoque la solitude au sein d’un monde pourtant hyper-connecté.