Cine / video
Nathaniel Dorsky I
05 may 2010
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Song and Solitude, 2005-2006, 16mm, couleur, silencieux, 18 ips , 21'
Nathaniel Dorsky a réalisé Song and Solitude l'année où une de ses grandes amies, Susan Vigil, atteinte d'un cancer, vivait ses derniers moments. La tonalité de deuil est donnée par l'obscurité qui domine dans la plupart des images du film.
Threnody, 2004, 16mm, couleur, silencieux, 18 ips, 25'
Threnody, le second des deux « chants de dévotion » est un cheminement grave mais lumineux à travers une expression délicate de phénomènes terrestres, une offrande au cinéaste Stan Brakhage qui vient de mourir.
The Visitation, 2002, 16mm, couleur, silencieux, 18 ips, 18'
Premier des deux « chants de dévotion », The Visitation est un dévoilement progressif, un avènement pour ainsi dire. J'ai ressenti le besoin de décrire un événement, non pas quelque chose de particulier lié à une époque et à un lieu, mais un phénomène de révélation dans la psyché d'un individu. » N. D.
Song and Solitude, 2005-2006, 16mm, couleur, silencieux, 18 ips , 21’
Nathaniel Dorsky a réalisé Song and Solitude l’année où une de ses grandes
amies, Susan Vigil, atteinte d’un cancer, vivait ses derniers moments. La
tonalité de deuil est donnée par l’obscurité qui domine dans la plupart des
images du film.
Threnody , 2004, 16mm, couleur, silencieux, 18 ips, 25’
Threnody, le second des deux « chants de dévotion » est un cheminement grave
mais lumineux à travers une expression délicate de phénomènes terrestres, une
offrande au cinéaste Stan Brakhage qui vient de mourir.
The Visitation, 2002, 16mm, couleur, silencieux, 18 ips, 18’
« Premier des deux « chants de dévotion », The Visitation est un dévoilement
progressif, un avènement pour ainsi dire. J’ai ressenti le besoin de décrire un
événement, non pas quelque chose de particulier lié à une époque et à un lieu,
mais un phénomène de révélation dans la psyché d’un individu. » N. D.
Quando
Desde 19:00