Cine / video
Focus Amateur #1
09 jun 2017
El evento ha terminado
Vivian Demard, Romain Cayla, Chorus (2013, 60’)
Chorégraphie : Mickaël Phelippeau
Plasticien et danseur de formation, le chorégraphe Mickaël Phelippeau révèle dans Chorus les possibilités sonores, silencieuses et visuelles d’un chœur classique. En reprenant la cantate Nicht so traurig, nicht so sehr de J.-S. Bach, les vingt-quatre choristes de l’ensemble a capella Voix humaines explorent la prodigieuse malléabilité des notes dans leur rapport au mouvement et à l’expressivité. Tandis que la voix sculpte les corps et fait vibrer les pas, le groupe se dissout et se reconstitue, sans jamais cesser de se réinventer.
Abigail Browde et Michael Silverstone, The Record (2013, 61’)
Chorégraphie : 600 HIGHWAYMEN
Sur une durée de 61 minutes, 45 étrangers se rassemblent pour nous montrer ce qu’ils sont et ce qu’ils pourraient être. Mélange de théâtre, de danse et d’un groupe hallucinant – une assemblée vive et humaine créant ainsi une incroyable partition. Le « nous » est au centre de l’attention ; le temps est maintenant. 600 HIGHWAYMEN
Julie Nioche et Laure Delamotte-Legrand, Les Sisyphe (2009, 19’)
Conception : Julie Nioche
À la suite de son spectacle La Sisyphe, Julie Nioche poursuit son projet initial avec Les Sisyphe, démultiplication de son solo. Reproduction du principe du saut avec dix personnes, avec cent personnes, avec le public, toujours sur une durée de vingt minutes. Performance de rassemblement, cette vidéo nous offre de courts extraits des différents lieux investis par ces groupes de danseurs non professionnels qui relèvent le défi physique et métaphysique de l’expérience.
Txalo Toloza, Le Sacre du Printemps (2010, 11’)
Chorégraphie : Roger Bernat
Des tableaux noirs aux murs, des lignes blanches au sol, des casques aux oreilles, l’œuvre de Stravinsky et une voix guidant nos pas sur ceux chorégraphiés par Pina Bausch en 1975. C’est ainsi que les spectateurs deviennent acteurs de ce Sacre du printemps. Tandis que les personnages principaux sont interprétés à tour de rôle par certains, les autres constituent des groupes qui se font, se défont, combattent, courent et s’étreignent dans une énergie furieusement contagieuse. Inventif et audacieux, Roger Bernat désacralise le Sacre.
Quando
16:00 - 18:45