Cine / video
Les Flocons d'or
16 dic 2010
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Quatre histoires, « Cuba », « Drame du rail », « Cœur brisé » et « La trahison », encadrées par un prologue et un épilogue, exaltent la sensualité des corps et la beauté des visages.
Le film préféré de Werner Schroeter, qui mit beaucoup de temps à voir le jour et subit de nombreuses coupes. Version intégrale digitale.
« La séquence en noir et blanc de Flocons d'or dans laquelle je joue, est, je pense, la plus belle chose que j'ai faite au cinéma. Werner a su extirper cette fameuse fragilité, cette transparence si délicate que j'ai en moi, que l'on connaît mais qui n'avait jamais été représentée de manière aussi pure. Pour Andréa Ferréol, c'est la même chose. Je pense que pour elle aussi son travail avec Werner, dans cette même séquence, est la plus belle chose qu'elle ait faite. Elle est pulpeuse, sexy, renoiresque. C'est une part de son physique qu'on ne trouve pas ou trop peu dans ses autres films. » B. Ogier, propos recueillis par G. Courant le 01/12/1981, Werner Schroeter, Goethe-Institut - Cinémathèque Française, 1982.
Les Flocons d’or
de Werner Schroeter
France / 1973-1976 / 163’ / nb et coul. / vof et stf
Format d’origine : 16 mm
Format de projection : beta digitale, version intégrale tirée à partir de la
copie inversible originale
avec Magdalena Montezuma, Ellen Umlauf, Christine Kaufmann, Andréa Ferréol,
Bulle Ogier, Isolde Barth
Quatre histoires, « Cuba », « Drame du rail », « Cœur brisé » et « La trahison
», encadrées par un prologue et un épilogue, exaltent la sensualité des corps
et la beauté des visages.
Le film préféré de Werner Schroeter, qui mit beaucoup de temps à voir le jour
et subit de nombreuses coupes.
« La séquence en noir et blanc de Flocons d’or dans laquelle je joue, est, je
pense, la plus belle chose que j’ai faite au cinéma. Werner a su extirper cette
fameuse fragilité, cette transparence si délicate que j’ai en moi, que l’on
connaît mais qui n’avait jamais été représentée de manière aussi pure. Pour
Andréa Ferréol, c’est la même chose. Je pense que pour elle aussi son travail
avec Werner, dans cette même séquence, est la plus belle chose qu’elle ait
faite. Elle est pulpeuse, sexy, renoiresque. C’est une part de son physique
qu’on ne trouve pas ou trop peu dans ses autres films. »
B. Ogier, propos recueillis par G. Courant le 01/12/1981, Werner Schroeter,
Goethe-Institut - Cinémathèque Française, 1982
jeudi 16 décembre, 19h30, cinéma 1
lundi 10 janvier, 20h, cinéma 1
séance exceptionnelle avec Andréa Ferréol, Bulle Ogier et Barbet Schroeder
(sous réserve)
Quando
Desde 19:30