Cine / video
Johanna d'Arc of Mongolia
19 abr 2010
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Johanna d'Arc of Mongolia, 1989, 35mm, Couleur, Sonore, 2h45, VOSTF avec Delphine Seyrig (Lady Windermere) / Irm Hermann (Frau Muller-Vohwinkel) / Gillian Scalici (Fanny Ziegfeld) / Inès Sastre (Giovanna) / Xu Re Huar (le princesse mongole Ulun Iga) / Peter Kern (Mickey Katz) / Nougzar Sharia (Alexander Boris Nikolai Nikolaievitch Moraviev) / Christoph Eichhorn (Aliocha) / Jacinta, Else Nabu et Sevimbike Elibay (un trio ouzbek, The Kalinka Sisters) et les nomades mongoles.
Dans cette épopée trilingue, quatre Occidentales voyageant dans le Transsibérien sont enlevées par une tribu de guerrières mongoles. Bien que fantastique, cette histoire s'appuie sur de solides recherches historiques et ethnographiques. Elle est l'une de ces fictions chères à Ulrike Ottinger sur la transformation, la métamorphose et la difficulté de vivre avec autrui.
« Tout le film participe d'une structure double, il regorge de répétitions, de redoublements, de variations et de mises en abyme. Les images présentent des failles résultant des histoires. Ainsi le monde mongol éclaire-t-il les coutumes et les habitudes occidentales, alors que le cinéma se recommande comme instrument de recherche et comme agent de constitution de mythes anciens et nouveaux. » Frieda Grafe, Süddeutsche Zeitung n°76.
Johanna d’Arc of Mongolia, 1989, 35mm, Couleur, Sonore, 2h45, VOSTF
avec Delphine Seyrig (Lady Windermere) / Irm Hermann (Frau Muller-Vohwinkel) /
Gillian Scalici (Fanny Ziegfeld) / Inès Sastre (Giovanna) / Xu Re Huar (le
princesse mongole Ulun Iga) / Peter Kern (Mickey Katz) / Nougzar Sharia
(Alexander Boris Nikolai Nikolaievitch Moraviev) / Christoph Eichhorn (Aliocha)
/ Jacinta, Else Nabu et Sevimbike Elibay (un trio ouzbek, The Kalinka Sisters)
et les nomads mongoles.
Dans cette épopée trilingue, quatre Occidentales voyageant dans le
Transsibérien sont enlevées par une tribu de guerrières mongoles. Bien que
fantastique, cette histoire s’appuie sur de solides recherches historiques et
ethnographiques.
Elle est l’une de ces fictions chères à Ulrike Ottinger sur la transformation,
la métamorphose et la difficulté de vivre avec autrui.
« Tout le film participe d’une structure double, il regorge de répétitions, de
redoublements, de variations et de mises en abyme. Les images présentent des
failles résultant des histoires… Ainsi le monde mongol éclaire-t-il les
coutumes et les habitudes occidentales alors que le cinéma se recommande comme
instrument de recherche et comme agent de constitution de mythes anciens et
nouveaux. » Frieda Grafe, Süddeutsche Zeitung n°76.
Quando
Desde 20:30