Spectacle / Concert
Kasper T. Toeplitz
Capture
22 avril 2005
L'événement est terminé
Kasper T. Toeplitz conception, composition
Dominik Barbier vidéo
Carole Garriga, Myriam Gourfink, Cindy Van Acker danse/ musique
Silvère coordination technique
kitchen.kom diffusion
C'est la partition musicale, écrite de façon extrêmement précise, largement micro-tonale puisque précise au hertz prés, qui a généré la chorégraphie de Capture - et c'est la captation, par des web-cams, des mouvements d'une infinitésimale lenteur des trois danseuses/musiciennes qui, semblant figer leur corps dans d'étranges positions, leur permet de générer la musique en direct - une longue ascension électronique, remplissant l'air de mouvements d'électricité, d'oscillations, d'une polyphonie de drones dont la source unique est pourtant un simple générateur de bruit blanc.
Cette captation/capture de la double interprétation du chorégraphique et du sonore permet également de mixer les images vidéo projetées derrière les trois danseuses, d'après un synopsis préexistant qui s'adapte au fur et à mesure à l'écoulement temporel de chaque mouvement et de chaque suspension, de chaque interprétation; une construction de parasites et d'éclats de vidéo d'une frénésie stagnante, qui se mue en de fugitives apparitions fantomatiques. Paradoxalement cette Capture du mouvement, mouvement qui est le seul générateur de l'audible comme du visible, seule cause du flux d'avancement dans le temps, est devenue capture de l'immobile, du presque rien, de l'imperceptible - déclenchant et contrôlant pourtant une sculpture de bruits.
Kasper T. Toeplitz conception, composition
Dominik Barbier vidéo
Carole Garriga, Myriam Gourfink, Cindy Van Acker danse/ musique
Silvère coordination technique
kitchen.kom diffusion
C'est la partition musicale, écrite de façon extrêmement précise, largement
micro-tonale puisque précise au hertz prés, qui a généré la chorégraphie de
CAPTURE - et c'est la captation, par des web-cams, des mouvements d'une
infinitésimale lenteur des trois danseuses/musiciennes qui, semblant figer leur
corps dans d'étranges positions, leur permet de générer la musique en direct -
une longue ascension électronique, remplissant l'air de mouvements
d'électricité, d'oscillations, d'une polyphonie de drones dont la source unique
est pourtant un simple générateur de bruit blanc.
Cette captation/capture de la double interprétation du chorégraphique et du
sonore permet également de mixer les images vidéo projetées derrière les trois
danseuses, d'après un synopsis préexistant qui s'adapte au fur et à mesure à
l'écoulement temporel de chaque mouvement et de chaque suspension, de chaque
interprétation; une construction de parasites et d'éclats de vidéo d'une
frénésie stagnante, qui se mue en de fugitives apparitions fantomatiques.
Paradoxalement cette CAPTURE du mouvement, mouvement qui est le seul générateur
de l'audible comme du visible, seule cause du flux d'avancement dans le temps,
est devenue capture de l'immobile, du presque rien, de l'imperceptible -
déclenchant et contrôlant pourtant une sculpture de bruits.
www.sleazeart.com/SAnews.html
Quand
À partir de 20h30