Panamarenko, portrait en son absence

Oedipus rex [ Séquence 1 ]

Belgique / 2000 / Béta Digital / 15'28'' / couleur inédit

Trois séquences filmées pour l'opéra-oratorio Oedipus Rex (1926-27, 1948) de I. Stravinsky, mis en scène par Guy Joosten à l'Opéra Royal de la Monnaie (Bruxelles) et au Vlaams Opera (Anvers . Gand) en mai 2000.

De Bouche à oreille [ 9 novembre 1995 ]

Belgique, France / 1995 / Bétacam SP / couleur / 5'

Inédit - pilote pour une série de programmes courts Scénario et réalisation : Claudio Pazienza.

Bruxelles, novembre 1995, le réalisateur parcourt la ville, il recueille sons et images, rencontre les gens : un geste, une chanson, un proverbe ou une reflexion leur a été demandé. Traces légères captées par la caméra qui, rassemblées, esquissent avec humour un portrait de la ville et de ses habitants.

Oedipus rex [Séquence 2]

Belgique / 2000 / Béta Digital / 13' 36'' / couleur / inédit

Ah, vous voilà Roberto Dorazio ! (syndicaliste)

Ah, vous voilà Marie Vanhaute ! (vendeuse ambulante d'escargots)

Séquences extraites de : Mic Mac, France, Belgique / 2002 / magazine bi-mensuel / 2' / coul.

Un invité surprise - enfermé dans un isoloir - répond à des questions sur son parcours et ses idéaux. Des images, des sons et des objets se glissent dans l'isoloir et sollicitent ses six sens (les cinq plus le sens de l'humour).

Oedipus Rex (Séquence 3)

Belgique / 2000 / 9' / coul. / inédit

Panamarenko, portrait en son absence

Belgique, France / 1997 / 27' / coul.

"A la fois évidente et complexe, ramifiée, multiple, ironique, l'œuvre de l'artiste anversois Panamarenko semble faire - depuis une trentaine d'années - la joie des grands et des petits. Mais qu'on se détrompe : malgré son apparente lisibilité, elle demeure inclassable et joyeusement iconoclaste. Elle ne peut donc se résumer à une illustration du mythe d'Icare ni à la volonté de bricoler appareils et machines capables de se mouvoir - avec ou sans force de l'homme, sur terre comme sous l'eau - pour étonner chameaux et poissons. Non, l'ensemble des objets de Panamarenko posent sans cesse la question des limites, des frontières, des passages. Passages de la contemplation à l'acte, de la matière à la forme, de l'art à la science (et vice versa). Il s'agit d'une perpétuelle invitation à."

Claudio Pazienza